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  Réforme de la gestion des risques climatiques : Chambre d’agriculture et DDT associées pour informer les exploitants

Alors que le nouveau dispositif de gestion des risques climatiques est applicable depuis le début de cette année et que des textes attendus sont récemment venus le préciser, la Chambre d’agriculture, en collaboration avec la DDT, organisait mercredi 25 janvier une journée d’information à destination des exploitants.

Afin d’apporter les renseignements les plus complets possible et les mieux adaptés à chacun sur cette réforme majeure, la matinée était axée sur les cultures pérennes (arboriculture et viticulture), l’après-midi était dédié aux grandes cultures et prairies. Chaque séquence était construite sur le même schéma. Dans un premier temps, Marie-Paule Lagarde, du service Economie agricole, se chargeait de la présentation générale des tenants et aboutissants de la loi du 2 mars 2022. Celle-ci instaure le nouveau dispositif qui, depuis le 1er janvier 2023, se substitue au système qui avait cours jusqu’alors de coexistence de l’assurance récolte et des calamités agricoles : « La répétition des aléas climatique à montré ses limites, et le besoin de repenser un système insatisfaisant. Le nouveau régime repose sur la solidarité nationale et un partage du risque entre les exploitants, les assureurs et l’Etat. » Elle présentait alors l’architecture en trois étages du nouveau dispositif, en fonction de l’intensité des risques : faibles (pertes inférieures à 20% supportées par l’agriculteur) ; moyens (pertes inférieures à 50% en grandes cultures et viticulture et à 30% pour les autres productions prises en charge par l’assurance subventionnée ; majeurs (pertes supérieures aux seuils précédents relevant majoritairement de la solidarité nationale). Les non-assurés, au-delà de 50% de pertes, bénéficieront d’une indemnisation sur fonds d’Etat au taux de 45% en 2023, dégressif par la suite.

Demander des simulations

La seconde partie de la réunion était assurée par Rémi Dubourg, chargé d’études au service politiques agricoles et filières à Chambres d’agriculture de France. Il apportait des précisions : nouveau dispositif ouvert à tous les agriculteurs, non obligatoire mais incitation forte (taux de subvention de 70% sur la base d’une franchise de 20%), perte de rendement assurée sur la base d’une moyenne olympique ou triennale (mesure satellitaire pour l’assurance des prairies), guichet unique pour l’assurance et le Fonds de solidarité nationale, géré par l’assureur à partir de 2024… Et insistait sur l’intérêt d’aller vers les assureurs pour demander simulations et devis.

Des acteurs de l’assurance, Crédit Agricole et Groupama, étaient conviés en fin de chaque séquence. Ils ont apporté des précisions sur les taux de franchise, le capital assurable, des fourchettes (larges) de coût à l’hectare selon les filières à affiner toutefois à l’échelle de chaque exploitation

 

 Des décisions à prendre à brève échéance

   -Souscription avant le 28 février en viticulture et arboriculture

   -Souscription avant le 31 mars pour les grandes cultures de printemps
 et les prairies

Dominique Forneris

   Assemblée générale JA 82 : Du mal-être en agriculture au bien-être de l’agriculteur

Les Jeunes Agriculteurs de Tarn-et-Garonne ont tenu leur assemblée générale jeudi 16 février à la salle des fêtes de Fonneuve, commune de Montauban. Cette année, ils ont choisi d’axer leurs réflexions, traduites dans le rapport d’orientation remis au public, sur l’analyse du mal-être agricole, « ce problème grandissant » et la recherche de solutions permettant d’améliorer le bien-être de l’agriculteur. Leur président, Jean-Baptiste Gibert, a déroulé les grandes lignes de cette thématique multi factorielle avant d’ouvrir le débat avec les élus, les représentants de l’administration et les responsables agricoles partenaires qui participaient à cette soirée. « Une heure et demie d’échanges avec des prises de parole spontanées, sincères et parfois poignantes. » apprécie le président.

« Au Cours des dernières décennies, le métier d’agriculteur n’a eu de cesse d’évoluer et de se complexifier. L’augmentation de la quantité de travail a été exponentielle avec le développement de l’entreprise, ceci fait peser une forte pression sur nos agriculteurs et la charge mentale de ces derniers a été considérablement accrue. Il ne faut pas oublier non plus les pressions subies par la profession que ce soit par l’Etat, les environnementalistes, les metteurs en marché ainsi que les consommateurs. » peut-on lire en introduction du rapport d’orientation.

 

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 De la protection des pollinisateurs…..au nouvel arrêté abeilles.

Une nouvelle règlementation  oblige les agriculteurs à modifier les heures d’applications des produits phytosanitaires, pendant les périodes de floraison, sur les cultures attractives aux pollinisateurs et les zones de butinage.

En résumé, le nouvel « arrêté » abeilles, c’est quoi ?

Le nouvel arrêté abeilles ou plan pollinisateurs, concerne l’application des produits phytosanitaires

  • S’applique à tous les produits phytosanitaires à l’exception des produits d’éclaircissage (et leurs adjuvants) et des Préparation Naturelles Peu Préoccupantes qui ne sont pas des produits phytosanitaires.
  • S’applique pour les cultures attractives (toutes celles qui ne sont pas mentionnées dans la liste des plantes non attractives, cf. encart) en floraison et aux zones de butinage
  • Précise la plage horaire de traitements autorisée : 2 heures avant et 3 heures après le coucher du soleil calendaire
  • Précise les exemptions à la plage horaire (conditions particulières)

D’autres mentions précisent l’évaluation des produits phytosanitaires et les mentions d’étiquetage « renforcées ».

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